Cette résidence d’artistes souhaite poursuivre une réflexion sur la marionnette, en tant qu’objet reliant toutes les disciplines artistiques. Elle s’inscrit dans la continuité de la RESIDENCE D’ECRITURE qui a eu lieu en juillet 2010 à Kribi, Cameroun et s’appuie sur les expériences des CHANTIERS DE LA MARIONNETTE organisés à Lyon et à Dives sur mer (5 éditions entre 2003 et 2012).
Instrument idéal de création, la marionnette interrogera la relation entre l’écriture dramatique, les arts plastiques, la musique et une certaine forme de chorégraphie – en tant qu’art d’organiser le mouvement des corps dans l’espace.
La marionnette est un langage universel, à plusieurs niveaux : celui de la manipulation du comédien-marionnettiste, celui du metteur en scène, chorégraphe de la matière, mais aussi au niveau de l’écriture du spectacle, qu’il s’agisse d’un texte travaillé, fini, ou de didascalies et de notes de mises en scène. C’est de cela dont nous souhaitons nous emparer ensemble : la marionnette comme élément participant d’un langage scénique métissé, reliant entre eux des artistes de cultures et de pratiques différentes.
Instrument idéal de création, la marionnette interrogera la relation entre l’écriture dramatique, les arts plastiques, la musique et une certaine forme de chorégraphie – en tant qu’art d’organiser le mouvement des corps dans l’espace.
La marionnette est un langage universel, à plusieurs niveaux : celui de la manipulation du comédien-marionnettiste, celui du metteur en scène, chorégraphe de la matière, mais aussi au niveau de l’écriture du spectacle, qu’il s’agisse d’un texte travaillé, fini, ou de didascalies et de notes de mises en scène. C’est de cela dont nous souhaitons nous emparer ensemble : la marionnette comme élément participant d’un langage scénique métissé, reliant entre eux des artistes de cultures et de pratiques différentes.
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